Notre compte-rendu ludique du FIJ 2014
Et voilà, quelques jours sont passés depuis la fin du FIJ, et j’aimerais encore y être … comme toujours, c’était trop court ! Je vous livre le compte-rendu de ce superbe weekend ludique en plusieurs parties (l’Homme m’a dit que sinon, ce serait un poil indigeste :-p )
Cette année, la fine équipe était composée de Guillaume, Carole et le célèbre Michel, plus connu pour les jeux de rôle mais cette fois-ci dans la peau du troisième joueur si précieux.
Le Festival International des Jeux de Cannes, c’est un peu le grand rassemblement francophone de toute une population ludique. Pour les allemands, il y a Essen, pour les français il y a Cannes. Comme chaque année depuis que nous avons déménagé, nous venons un peu en catimini, sans trop le dire. Un seul but pour ce weekend : voir la famille, et jouer comme des oufs guedins ! Pour l’occasion, il est remis chaque année le prix du jeu de l’année, surnommé l’As d’Or, ainsi que ces petits camarades jeux expert etc.
Les grands gagnant 2014 sont :
l’As d’Or Jeu de l’année, le grand Concept de Alain Rivollet, Gaëtan Beaujannot et illustré par Éric Azagury, Cédric Chevalier.
l’As d’or Prix du Jury revient au jeu Les Bâtisseurs Moyen Age de Frederic Henry et illustré par Sabrina Miramon.
L’As d’Or Grand Prix (catégorie Expert) revient à Bruxelles 1893 de Etienne Espreman et illustré par Alexandre Roche.
l’As d’Or pour les chtits n’Enfants est Riff Raff de Christoph Cantzler et illustré par Michael Menzel.
Et comme chaque année, le grand constat est le suivant : c’est blindé ! Du monde, encore du monde, et beaucoup de monde. 150 000 visiteurs ce sont bousculés dans les allées du palais des festivals et comme je les comprend 🙂
Des illustrateurs et des auteurs étaient là pour dédicacer les boites, quelques prototypes, beaucoup d’ambiance et de bonne volonté de la part des animateurs des différents éditeurs. Un défi pour eux de conserver leur voix tout le long du weekend !
Et alors, à quoi avons-nous jouer ? Si vous nous avez suivi sur instagram ou facebook, vous le savez déjà. Si non ? Et bien vous en avez de la chance, voici le moment du compte-rendu !
C’est ainsi que vendredi matin, nous sommes arrivés devant les marches du festival et avons pénétré dans l’antre de la bête pour ne plus voir la lumière du jour. Je vais donc vous parler brièvement des jeux et vous donnez notre avis avec des couleurs.
- Vert : ça a plu
- Orange : moyennement
- Rouge : pas du tout
Après avoir fait un bref petit tour dans le salon, nous nous installons à la première table libre que nous voyons, sur le stand de Iello pour jouer à Steampark.
Un jeu où il faut créer un parc d’attraction pour des petits robots. Grâce à des dès, on va pouvoir construire, nettoyer son parc, amuser les petits robots. Un jeu de chance (pour le tirage), de réflexion (pour le placement) et pour certain (voir l’échelle de contentement ci-dessous), un jeu de merde. Pour d’autres (voir toujours au même endroit), c’est un jeu marrant, qui change un peu, même si le thème ne se ressent pas vraiment. Personnellement, j’adore tellement l’illustratrice que j’adore forcément le thème :-p
Echelle de contentement : Carole / Guillaume / Michel (gagnant)
Puis, direction le stand de Bombyx pour tester les Batisseurs … malheureusement déjà pris, mais on se jette sur Continental Express.Il va falloir remplir des contrats pour pouvoir gagner de l’argent. Pour remplir ces contrats, il faut piocher des cartes dans les files posées devant soi. Un mécanisme sympathique (avec ces tas de cartes qui se vident petit à petit), des règles facile à comprendre et rapide à jouer.
Echelle de contentement : Carole / Guillaume (gagnant)/ Michel
On continue notre tour et on arrive sur le stand alone dans l’univers de Dice Town (un de nos jeux préférés), Desperados.
Pour pouvoir gagner, il va falloir tirer les dès dans l’arène : cela nous permettra de libérer nos gangsters de prison et d’éclaaaaater nos adversaires. Je ne suis pas vraiment fan des produits dérivés en règle générale, mais je dois avouer que j’ai beaucoup aimé ce petit jeu : rapide à comprendre (et très bien expliqué), entrainant.
Echelle de contentement : Carole / Guillaume (gagnant)/ Michel
Cette partie nous a mis en appétit, et c’est ainsi que nous décidons d’aller camper dans un coin du festival, histoire de se remplir la panse de délicieux sandwichs (faits maison). La suite dans le prochain post !
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